ArticleL313-61 du Code de la consommation. Article L313-61 du Code de la consommation. Copier. Suivre. Autour de l'article (1) Commentaire 0. DĂ©cision 1. Document parlementaire 0. Une seule plateforme, toute l'information juridique disponible. Jurisprudence, conclusions du rapporteur public, documents parlementaires, codes, lois, rĂšglements, rĂ©ponses ministĂ©rielles, ArrĂȘtĂ© du 29 juin 2022 portant modification de l'arrĂȘtĂ© du 24 aoĂ»t 2006 fixant les catĂ©gories de prĂȘts servant de base Ă  l'application de l'article L. 314-6 du code de la consommation et de l'article L. 313-5-1 du code monĂ©taire et financier, relatifs Ă  l'usure du 30/06/2022 Avis paru au JO n° 27 du 27 juin 2022 relatif Ă  l'application des articles L. 314-6 du code de la consommation et L. 313-5-1 du code monĂ©taire et financier concernant l'usure du 30/06/2022 Avis paru au JO n° 28 du 28 mars 2022 relatif Ă  l'application des articles L. 314-6 du code de la consommation et L. 313-5-1 du code monĂ©taire et financier concernant l'usure du 29/03/2022 Avis paru au JO n° 26 du 26 dĂ©cembre 2021 relatif Ă  l'application des articles l. 314-6 du code de la consommation et l. 313-5-1 du code monĂ©taire et financier concernant l'usure du 28/12/2021 Avis paru au JO du 27 septembre 2021 relatif Ă  l'application des articles l. 314-6 du code de la consommation et l. 313-5-1 du code monĂ©taire et financier concernant l'usure du 28/09/2021 Avis du 27 septembre 2017 relatif Ă  l'application des articles L. 314-6 du code de la consommation et L. 313-5-1 du code monĂ©taire et financier concernant l'usure. du 27-09-2017 Avis du 28 juin 2017 relatif Ă  l’application des articles L. 314-6 du code de la consommation et L. 313-5-1 du code monĂ©taire et financier concernant l’usure. du 29-06-2017 Avis relatif Ă  l'application des articles L. 314-6 du code de la consommation et L. 313-5-1 du code monĂ©taire et financier concernant l'usure. du 29-03-2017 ArrĂȘtĂ© du 23 fĂ©vrier 2017 portant extension en Nouvelle-CalĂ©donie, en PolynĂ©sie française et dans les Ăźles Wallis et Futuna des dispositions de l'arrĂȘtĂ© du 24 aoĂ»t 2006 fixant les catĂ©gories de prĂȘts servant de base Ă  l'application de l'article L. 313-3 du code de la consommation et de l'article L. 313-5-1 du code monĂ©taire et financier, relatifs Ă  l'usure . du 03-03-2017 2014 - 2016 Avis du 27 dĂ©cembre 2016 relatif Ă  l'application des articles L. 314-6 du code de la consommation et L. 313-5-1 du code monĂ©taire et financier concernant l'usure. du 27-12-2016 LĂ©gifrance ArrĂȘtĂ© du 26 septembre 2016 portant modification de l'arrĂȘtĂ© du 24 aoĂ»t 2006 fixant les catĂ©gories de prĂȘts servant de base Ă  l'application de l'article L. 314-6 du code de la consommation et de l'article L. 313-5-1 du code monĂ©taire et financier, relatifs Ă  l'usure. du 01-10-2016. LĂ©gifrance Avis du 27 septembre 2016 relatif Ă  l'application des articles L. 314-6 du code de la consommation et L. 313-5-1 du code monĂ©taire et financier concernant l'usure. du 27-09-2016 LĂ©gifrance Avis du 25 juin 2016 relatif Ă  l'application des articles L. 314-6 du code de la consommation et L. 313-5-1 du code monĂ©taire et financier concernant l'usure. du 24-06-2016 LĂ©gifrance ArrĂȘtĂ© du 16 juin 2016 portant modification de l'arrĂȘtĂ© du 24 aoĂ»t 2006 fixant les catĂ©gories de prĂȘts servant de base Ă  l'application de l'article L. 313-3 du code de la consommation et de l'article L. 313-5-1 du code monĂ©taire et financier, relatifs Ă  l'usure. du 19-06-2016 LĂ©gifrance Avis du 25 mars 2016 relatif Ă  l'application des articles L. 313-3 du code de la consommation et L. 313-5-1 du code monĂ©taire et financier concernant l'usure. du 25-03-2016 Avis du 29 dĂ©cembre 2015 relatif Ă  l'application des articles L. 313-3 du code de la consommation et L. 313-5-1 du code monĂ©taire et financier concernant l'usure. du 29-12-2015 Avis du 24 septembre 2015 relatif Ă  l'application des articles L. 313-3 du code de la consommation et L. 313-5-1 du code monĂ©taire et financier concernant l'usure. du 29-09-2015 Avis du 24 juin 2015 relatif Ă  l'application des articles L. 313-3 du code de la consommation et L. 313-5-1 du code monĂ©taire et financier concernant l'usure. du 27-06-2015 Avis relatif Ă  l'application des articles L. 313-3 du code de la consommation et L. 313-5-1 du code monĂ©taire et financier concernant l'usure. du 27-03-2015 Avis du 22 dĂ©cembre 2014 relatif Ă  l'application des articles L. 313-3 du code de la consommation et L. 313-5-1 du code monĂ©taire et financier concernant l'usure. du 26-12-2014 Avis du 24 septembre 2014 relatif Ă  l'application des articles L. 313-3 du code de la consommation et L. 313-5-1 du code monĂ©taire et financier concernant l'usure. du 27-09-2014 Avis du 24 juin 2014 relatif Ă  l'application des articles L. 313-3 du code de la consommation et L. 313-5-1 du code monĂ©taire et financier concernant l'usure. JORF du 27-06-2014 Avis du 24 mars 2014 relatif Ă  l'application des articles L. 313-3 du code de la consommation et L. 313-5-1 du code monĂ©taire et financier concernant l'usure. JORF du 27-03-2014 2010 Ă  2013 Avis du 23 dĂ©cembre 2013 relatif Ă  l'application des articles L. 313-3 du code de la consommation et L. 313-5-1 du code monĂ©taire et financier concernant l'usure. JORF du 26-12-2013 Avis du 25 septembre 2013 relatif Ă  l'application des articles L. 313-3 du code de la consommation et L. 313-5-1 du code monĂ©taire et financier concernant l'usure. JORF du 28-09-2013 Avis du 24 juin 2013 relatif Ă  l'application des articles L. 313-3 du code de la consommation et L. 313-5-1 du code monĂ©taire et financier concernant l'usure. JORF du 27-06-2013 Avis du 26 mars 2013 relatif Ă  l'application des articles L. 313-3 du code de la consommation et L. 313-5-1 du code monĂ©taire et financier concernant l'usure. JORF du 28-03-2013 Avis du 26 dĂ©cembre 2012 relatif Ă  l'application des articles L. 313-3 du code de la consommation et L. 313-5-1 du code monĂ©taire et financier concernant l'usure. JORF du 26-12-2012 Avis du 24 septembre 2012 relatif Ă  l'application des articles L. 313-3 du code de la consommation et L. 313-5-1 du code monĂ©taire et financier concernant l'usure. JORF du 29-09-2012 Avis du 30 juin 2012 relatif Ă  l'application des articles L. 313-3 du code de la consommation et L. 313-5-1 du code monĂ©taire et financier concernant l'usure. JORF du 30-06-2012 Avis du 29 juin 2012 relatif Ă  l'application des articles L. 313-3 du code de la consommation et L. 313-5-1 du code monĂ©taire et financier concernant l'usure. JORF du 29-06-2012 Avis du 28 juin 2012 relatif Ă  l'application des articles L. 313-3 du code de la consommation et L. 313-5-1 du code monĂ©taire et financier concernant l'usure. JORF du 28-06-2012 Avis du 20 mars 2012 relatif Ă  l'application des articles L. 313-3 du code de la consommation et L. 313-5-1 du code monĂ©taire et financier concernant l'usure. JORF du 24-03-2012 Avis du 21 septembre 2011 relatif Ă  l'application des articles L. 313-3 du code de la consommation et L. 313-5-1 du code monĂ©taire et financier concernant l'usure. JORF du 24-09-2011 Avis du 20 juin 2011 relatif Ă  l'application des articles L. 313-3 du code de la consommation et L. 313-5-1 du code monĂ©taire et financier concernant l'usure. JORF du 24-06-2011 Avis du 24 dĂ©cembre 2010 relatif Ă  l'application des articles L. 313-3 du code de la consommation et L. 313-5-1 du code monĂ©taire et financier concernant l'usure. JORF du 24-12-2010 Avis du 26 septembre 2010 relatif Ă  l'application des articles L. 313-3 du code de la consommation et L. 313-5-1 du code monĂ©taire et financier concernant l'usure. JORF du 26-09-2010 Avis du 27 juin 2010 relatif Ă  l'application des articles L. 313-3 du code de la consommation et L. 313-5-1 du code monĂ©taire et financier concernant l'usure. JO du 27-06-2010 Avis du 28 mars 2010 relatif Ă  l'application des articles L. 313-3 du code de la consommation et L. 313-5-1 du code monĂ©taire et financier concernant l'usure. JORF du 28-03-2010 2000 Ă  2009 Avis du 21 dĂ©cembre 2009 relatif Ă  l'application des articles L. 313-3 du code de la consommation et L. 313-5-1 du code monĂ©taire et financier concernant l'usure. JORF du 29-12-2009 Avis du 27 septembre 2009 relatif Ă  l'application des articles L. 313-3 du code de la consommation et L. 313-5-1 du code monĂ©taire et financier concernant l'usure. JORF du 27-09-2009 Avis du 29 juin 2009 relatif Ă  l'application des articles L. 313-3 du code de la consommation et L. 313-5-1 du code monĂ©taire et financier concernant l'usure complĂ©tant l'avis du 27 juin 2009. JORF du 30-06-2009 Avis du 27 juin 2009 relatif Ă  l'application des articles L. 313-3 du code de la consommation et L. 313-5-1 du code monĂ©taire et financier concernant l'usure. JORF du 27-06-2009 Avis du 28 mars 2009 relatif Ă  l'application des articles L. 313-3 du code de la consommation et L. 313-5-1 du code monĂ©taire et financier concernant l'usure. JORF du 28-03-2009 Avis du 31 mars 2009 relatif Ă  l'application des articles L. 313-3 du code de la consommation et L. 313-5-1 du code monĂ©taire et financier concernant l'usure rectifie l'avis du 28-03-2009. JORF du 31-03-2009 Avis du 22 dĂ©cembre 2008 relatif Ă  l'application des articles L. 313-3 du code de la consommation et L. 313-5-1 du code monĂ©taire et financier concernant l'usure. JORF du 31-12-2008 Avis du 27 septembre 2008 relatif Ă  l'application des articles L. 313-3 du code de la consommation et L. 313-5-1 du code monĂ©taire et financier concernant l'usure. JORF du 27-09-2008 Avis du 27 juin 2008 relatif Ă  l'application des articles L. 313-3 du code de la consommation et L. 313-5-1 du code monĂ©taire et financier concernant l'usure. JORF du 27-06-2008 Avis du 25 mars 2008 relatif Ă  l'application des articles L. 313-3 du code de la consommation et L. 313-5-1 du code monĂ©taire et financier concernant l'usure. JORF du 01-04-2008 Avis du 28 dĂ©cembre relatif Ă  l'application des articles L. 313-3 du code de la consommation et L. 313-5-1 du code monĂ©taire et financier concernant l'usure. JORF du 28-12-2007 Avis du 28 septembre 2007 relatif Ă  l'application des articles L. 313-3 du code de la consommation et L. 313-5-1 du code monĂ©taire et financier concernant l'usure. JORF du 05-10-2007 Avis du 5 juillet 2007 relatif Ă  l'application des articles L. 313-3 du code de la consommation et L. 313-5-1 du code monĂ©taire et financier concernant l'usure. JORF du 05-07-2007 Avis du 4 janvier 2007 relatif Ă  l'application des articles L. 313-3 du code de la consommation et L. 313-5-1 du code monĂ©taire et financier concernant l'usure. JORF du 04-01-2007 Avis du 30 septembre 2006 relatif Ă  l'application des articles L. 313-3 du code de la consommation et L. 313-5-1 du code monĂ©taire et financier concernant l'usure. JORF du 30-09-2006 Avis du 29 juin 2006 relatif Ă  l'application des articles L. 313-3 du code de la consommation et L. 313-5-1 du code monĂ©taire et financier concernant l'usure. JORF du 29-06-2006 Avis du 23 mars 2006 relatif Ă  l'application des articles L. 313-3 du code de la consommation et L. 313-5-1 du code monĂ©taire et financier concernant l'usure. JORF du 23-03-2006 Avis du 23 dĂ©cembre 2005 relatif Ă  l'application des articles L. 313-3 du code de la consommation et L. 313-5-1 du code monĂ©taire et financier concernant l'usure. JORF du 23-12-2005 Avis du 23 septembre 2005 relatif Ă  l'application des articles L. 313-3 du code de la consommation et L. 313-5-1 du code monĂ©taire et financier concernant l'usure. JORF du 23-09-2005 Avis du 7 octobre 2004 relatif Ă  l'application des articles L. 313-3 du code de la consommation et L. 315-5-1 du code monĂ©taire et financier concernant l'usure. JORF du 07-10-2004 Avis concernant l'application de l'article L. 313-3 du code de la consommation relatif Ă  l'usure. JORF du 15/06/2000 Avisdu 28 mars 2022 relatif Ă  l'application des articles L. 314-6 du code de la consommation et L. 313-5-1 Aller au contenu; Aller au menu; Aller au menu; Aller Ă  la recherche; Menu Informations de mises Ă  jour; Gestion des cookies
Une fiche standardisĂ©e d'information est fournie, lors de la premiĂšre simulation, Ă  toute personne qui se voit proposer ou qui sollicite une assurance ayant pour objet de garantir le remboursement d'un prĂȘt mentionnĂ© au 1° de l'article L. 313-1 ou destinĂ© Ă  financer une opĂ©ration relative Ă  la rĂ©paration, l'amĂ©lioration ou l'entretien d'immeubles Ă  usage d'habitation ou Ă  usage professionnel et d'habitation, lorsque le crĂ©dit est supĂ©rieur Ă  75 000 euros et garanti par une hypothĂšque, par une autre sĂ»retĂ© comparable sur les biens immobiliers Ă  usage d'habitation, ou par un droit liĂ© Ă  un bien immobilier Ă  usage d'habitation. Les modalitĂ©s d'application du prĂ©sent alinĂ©a sont fixĂ©es par dĂ©cret en Conseil d'Etat. La fiche standardisĂ©e d'information mentionne la possibilitĂ© pour l'emprunteur de souscrire auprĂšs de l'assureur de son choix une assurance dans les conditions fixĂ©es aux articles L. 313-29 et L. 313-30 et prĂ©cise les types de garanties proposĂ©es. Le format de cette fiche ainsi que son contenu sont fixĂ©s par arrĂȘtĂ©.
ArticleL313-47. L'emprunteur peut toujours, Ă  son initiative, rembourser par anticipation, en partie ou en totalitĂ©, les prĂȘts rĂ©gis par les sections 1 Ă  5 du prĂ©sent chapitre. Le contrat de prĂȘt peut interdire les remboursements Ă©gaux ou infĂ©rieurs Ă  10 %
Pour l'application du présent code, on entend par 1° Consommateur toute personne physique qui agit à des fins qui n'entrent pas dans le cadre de son activité commerciale, industrielle, artisanale, libérale ou agricole ; 2° Non-professionnel toute personne morale qui n'agit pas à des fins professionnelles ; 3° Professionnel toute personne physique ou morale, publique ou privée, qui agit à des fins entrant dans le cadre de son activité commerciale, industrielle, artisanale, libérale ou agricole, y compris lorsqu'elle agit au nom ou pour le compte d'un autre professionnel ; 4° Producteur le fabricant d'un bien, l'importateur d'un bien dans l'Union européenne ou toute autre personne qui se présente comme producteur en apposant sur le bien son nom, sa marque ou un autre signe distinctif ; 5° Bien comportant des éléments numériques tout bien meuble corporel qui intÚgre un contenu numérique ou un service numérique ou qui est interconnecté avec un tel contenu ou un tel service, de maniÚre telle que l'absence de ce contenu numérique ou de ce service numérique empÃÂȘcherait le bien de remplir ses fonctions ; 6° Contenu numérique des données produites et fournies sous forme numérique ; 7° Service numérique un service permettant au consommateur de créer, de traiter ou de stocker des données sous forme numérique ou d'y accéder, ou un service permettant le partage ou toute autre interaction avec des données sous forme numérique qui sont téléversées ou créées par le consommateur ou d'autres utilisateurs de ce service ; 8° Support durable tout instrument permettant au consommateur ou au professionnel de stocker des informations qui lui sont adressées personnellement afin de pouvoir s'y reporter ultérieurement pendant un laps de temps adapté aux fins auxquelles les informations sont destinées et qui permet la reproduction à l'identique des informations stockées ; 9° Fonctionnalité la capacité d'un bien, d'un contenu numérique ou d'un service numérique à remplir ses fonctions eu égard à sa finalité ; 10° Compatibilité la capacité d'un bien, d'un contenu numérique ou d'un service numérique à fonctionner avec du matériel informatique ou des logiciels, avec lesquels des biens, des contenus numériques ou des services numériques de mÃÂȘme type sont normalement utilisés, sans qu'il soit nécessaire de convertir lesdits biens, matériels, logiciels, contenus numériques ou services numériques ; 11° Interopérabilité la capacité d'un bien, d'un contenu numérique ou d'un service numérique à fonctionner avec du matériel informatique ou des logiciels différents de ceux avec lesquels des biens, des contenus numériques ou des services numériques de mÃÂȘme type sont normalement utilisés ; 12° Durabilité la capacité d'un bien à maintenir les fonctions et performances requises dans le cadre d'un usage normal ; 13° Données à caractÚre personnel les données à caractÚre personnel telles que définies à l'article 4, point 1, du rÚglement UE 2016/679 du 27 avril 2016 relatif à la protection des personnes physiques à l'égard du traitement des données à caractÚre personnel et à la libre circulation de ces données ;14° Place de marché en ligne un service utilisant un logiciel, y compris un site internet, une partie de site internet ou une application, exploité par un professionnel ou pour son compte, qui permet aux consommateurs de conclure des contrats à distance avec d'autres professionnels ou consommateurs ; 15° Opérateur de place de marché en ligne tout professionnel qui fournit une place de marché en ligne aux consommateurs, au sens du 2° du I de l'article L. 111-7 ; 16° Pratique commerciale toute action, omission, conduite, démarche ou communication commerciale, y compris la publicité et le marketing, de la part d'un professionnel, en relation directe avec la promotion, la vente ou la fourniture d'un bien, d'un service, ou portant sur des droits et à lñ€ℱarticle 10 de lñ€ℱordonnance n° 2021-1734 du 22 décembre 2021, ces dispositions entrent en vigueur le 28 mai 2022.
Codede la consommation. Surligner les termes recherchĂ©s. Informations Ă©ditoriales. Code de la consommation. Recherche par : Document - NumĂ©ro d'article. Table alphabĂ©tique. Sommaire. Code de la consommation. PREMIÈRE PARTIE - LÉGISLATIVE (Art. liminaire - Art. L. 823-2) Art. liminaire. LIVRE PREMIER - INFORMATION DES CONSOMMATEURS ET PRATIQUES
calcul du taux effectif global repose sur l'hypothĂšse que le contrat de crĂ©dit restera valable pendant la durĂ©e convenue et que le prĂȘteur et l'emprunteur rempliront leurs obligations selon les conditions et dans les dĂ©lais prĂ©cisĂ©s dans le contrat de crĂ©dit. Pour les contrats de crĂ©dit comportant des clauses qui permettent des adaptations du taux d'intĂ©rĂȘt et, le cas Ă©chĂ©ant, des frais entrant dans le taux effectif global mais ne pouvant pas faire l'objet d'une quantification au moment du calcul, le taux effectif global est calculĂ© en partant de l'hypothĂšse que le taux d'intĂ©rĂȘt et les autres frais resteront fixes par rapport au niveau initial et s'appliqueront jusqu'au terme du contrat de crĂ©dit. les opĂ©rations de crĂ©dit destinĂ©es Ă  financer les besoins d'une activitĂ© professionnelle ou destinĂ©es Ă  des personnes morales de droit public ainsi que pour celles mentionnĂ©es Ă  l'article L. 312-2, le taux effectif global est un taux annuel, proportionnel au taux de pĂ©riode, Ă  terme Ă©chu et exprimĂ© pour cent unitĂ©s monĂ©taires. Le taux de pĂ©riode et la durĂ©e de la pĂ©riode doivent ĂȘtre expressĂ©ment communiquĂ©s Ă  l'emprunteur. Le taux de pĂ©riode est calculĂ© actuariellement, Ă  partir d'une pĂ©riode unitaire correspondant Ă  la pĂ©riodicitĂ© des versements effectuĂ©s par l'emprunteur. Il assure, selon la mĂ©thode des intĂ©rĂȘts composĂ©s, l'Ă©galitĂ© entre, d'une part, les sommes prĂȘtĂ©es et, d'autre part, tous les versements dus par l'emprunteur au titre de ce prĂȘt, en capital, intĂ©rĂȘts et frais divers, ces Ă©lĂ©ments Ă©tant, le cas Ă©chĂ©ant, estimĂ©s. Lorsque la pĂ©riodicitĂ© des versements est irrĂ©guliĂšre, la pĂ©riode unitaire est celle qui correspond au plus petit intervalle sĂ©parant deux versements. Le plus petit intervalle de calcul ne peut cependant ĂȘtre infĂ©rieur Ă  un mois. Lorsque les versements sont effectuĂ©s avec une frĂ©quence autre qu'annuelle, le taux effectif global est obtenu en multipliant le taux de pĂ©riode par le rapport entre la durĂ©e de l'annĂ©e civile et celle de la pĂ©riode unitaire. Le rapport est calculĂ©, le cas Ă©chĂ©ant, avec une prĂ©cision d'au moins une dĂ©cimale. Si le crĂ©dit prend la forme d'une ouverture de droits de tirage destinĂ©e Ă  financer les besoins d'une activitĂ© professionnelle, le taux effectif global est calculĂ© sur la totalitĂ© des droits mis Ă  la disposition du client. toutes les opĂ©rations de crĂ©dit autres que celles mentionnĂ©es au II, le taux effectif global est dĂ©nommĂ© " taux annuel effectif global " et calculĂ© Ă  terme Ă©chu, exprimĂ© pour cent unitĂ©s monĂ©taires, selon la mĂ©thode d'Ă©quivalence dĂ©finie par la formule figurant en annexe au prĂ©sent article. La durĂ©e de la pĂ©riode doit ĂȘtre expressĂ©ment communiquĂ©e Ă  l'emprunteur. Le taux annuel effectif global est calculĂ© actuariellement et assure, selon la mĂ©thode des intĂ©rĂȘts composĂ©s, l'Ă©galitĂ© entre, d'une part, les sommes prĂȘtĂ©es et, d'autre part, tous les versements dus par l'emprunteur au titre de ce prĂȘt pour le remboursement du capital et le paiement du coĂ»t total du crĂ©dit au sens du 5° de l'article L. 311-1, ces Ă©lĂ©ments Ă©tant, le cas Ă©chĂ©ant, estimĂ©s. Les frais d'acte notariĂ© Ă©tablis en application du dĂ©cret n° 78-262 du 8 mars 1978 portant fixation du tarif des notaires ne sont pas pris en compte pour le calcul de ce taux. A Le taux de l’intĂ©rĂȘt lĂ©gal prĂ©vu par l’article L. 313-2 du Code monĂ©taire et financier Le code monĂ©taire et financier prĂ©voit un taux simple (1) et un taux majorĂ© (2). 1- Le taux simple de l’intĂ©rĂȘt lĂ©gal : article L. 313-2 du Code monĂ©taire et financier « Le taux de l’intĂ©rĂȘt lĂ©gal est, en toute matiĂšre, fixĂ© par dĂ©cret pour la durĂ©e de l’annĂ©e civile. Il est
Cour de cassation chambre commerciale, 11 juin 2014, no 13-14848 Cass. com., 11 juin 2014 no 13-14848, PB La Cour ... Sur le moyen unique, pris en sa premiĂšre branche Vu les articles L. 312-2, 1o, a et L. 313-7 du Code de la consommation, dans leur rĂ©daction issue de loi du 26 juillet 1993, applicable en la cause ; Attendu qu'il rĂ©sulte de la combinaison de ces textes que seuls les cautionnements de prĂȘts destinĂ©s Ă  financer l'acquisition en propriĂ©tĂ© ou en jouissance d'immeubles Ă  usage d'habitation ou Ă  usage professionnel d'habitation relĂšvent des dispositions du Code de la consommation ; Attendu, selon l'arrĂȘt attaquĂ© et les productions, que, par acte authentique du 21 fĂ©vrier 2002, la sociĂ©tĂ© AGPS Vigile 2000 la sociĂ©tĂ© AGPS a souscrit auprĂšs de la sociĂ©tĂ© CrĂ©dit lyonnais, en vue d'acquĂ©rir un immeuble Ă  usage professionnel, un prĂȘt dont M. et Mme X se sont rendus cautions, cette derniĂšre Ă©tant reprĂ©sentĂ©e Ă  l'acte en vertu d'un mandat sous seing privĂ© du 20 fĂ©vrier prĂ©cĂ©dent ; que, le 20 juin 2003, la sociĂ©tĂ© AGPS a Ă©tĂ© mise en redressement judiciaire ; que, le 15 juillet suivant, la banque, aux droits de laquelle vient le fonds commun de titrisation Hugo crĂ©ances 1 le fonds en vertu d'une cession de crĂ©ance du 4 aoĂ»t 2010, a dĂ©clarĂ© sa crĂ©ance au passif de la procĂ©dure ; que, le 2 aoĂ»t 2011, le fonds[...] IL VOUS RESTE 91% DE CET ARTICLE À LIRE L'accĂšs Ă  l'intĂ©gralitĂ© de ce document est rĂ©servĂ© aux abonnĂ©s L'accĂšs Ă  l'intĂ©gralitĂ© de ce document est rĂ©servĂ© aux abonnĂ©s Vous ĂȘtes abonnĂ© - Identifiez-vous PA201417107 urnPA201417107

CodemonĂ©taire et financier, Articles L313-1 et s. . Code de la consommation, Articles R313-1 et suivants. Code des assurances, article L. 211-13. Loi n°66-1010 du 28 dĂ©cembre 1966 relative Ă  l'usure, aux prĂȘts d'argent et Ă  certaines opĂ©rations de marchandage et de publicitĂ©.

Actions sur le document Article L313-3 Constitue un prĂȘt usuraire tout prĂȘt conventionnel consenti Ă  un taux effectif global qui excĂšde, au moment oĂč il est consenti, de plus du tiers, le taux effectif moyen pratiquĂ© au cours du trimestre prĂ©cĂ©dent par les Ă©tablissements de crĂ©dit pour des opĂ©rations de mĂȘme nature comportant des risques analogues, telles que dĂ©finies par l'autoritĂ© administrative aprĂšs avis du ComitĂ© consultatif du secteur financier. Les catĂ©gories d'opĂ©rations pour les prĂȘts aux particuliers n'entrant pas dans le champ d'application des articles L. 312-1 Ă  L. 312-3 sont dĂ©finies Ă  raison du montant des prĂȘts. Les crĂ©dits accordĂ©s Ă  l'occasion de ventes Ă  tempĂ©rament sont, pour l'application de la prĂ©sente section, assimilĂ©s Ă  des prĂȘts conventionnels et considĂ©rĂ©s comme usuraires dans les mĂȘmes conditions que les prĂȘts d'argent ayant le mĂȘme objet. Les conditions de calcul et de publicitĂ© des taux effectifs moyens visĂ©s au premier alinĂ©a sont fixĂ©es par la voie rĂ©glementaire. Des mesures transitoires, dĂ©rogeant aux alinĂ©as prĂ©cĂ©dents, peuvent ĂȘtre mises en Ɠuvre par le ministre chargĂ© de l'Ă©conomie, sur proposition motivĂ©e du gouverneur de la Banque de France, pour une pĂ©riode ne pouvant excĂ©der huit trimestres consĂ©cutifs, en cas de -variation d'une ampleur exceptionnelle du coĂ»t des ressources des Ă©tablissements de crĂ©dit ; -modifications de la dĂ©finition des opĂ©rations de mĂȘme nature mentionnĂ©es au premier alinĂ©a. Un comitĂ©, prĂ©sidĂ© par le gouverneur de la Banque de France, est chargĂ© de suivre et d'analyser, notamment au regard du mode de fixation des taux de l'usure, le niveau et l'Ă©volution des taux d'intĂ©rĂȘt des prĂȘts aux particuliers. Le comitĂ© examine Ă©galement les modalitĂ©s de financement des Ă©tablissements de crĂ©dit et analyse le niveau, l'Ă©volution et les composantes de leurs marges. Outre le gouverneur de la Banque de France, le comitĂ© comprend un dĂ©putĂ©, un sĂ©nateur et le directeur gĂ©nĂ©ral du TrĂ©sor et de la politique Ă©conomique. Il se rĂ©unit Ă  l'initiative de son prĂ©sident au moins une fois par trimestre et pendant deux ans. Il Ă©tablit un rapport annuel qui est remis au Parlement et au Gouvernement. Les dispositions du prĂ©sent article et celles des articles L. 313-4 Ă  L. 313-6 ne sont pas applicables aux prĂȘts accordĂ©s Ă  une personne physique agissant pour ses besoins professionnels ou Ă  une personne morale se livrant Ă  une activitĂ© industrielle, commerciale, artisanale, agricole ou professionnelle non commerciale. DerniĂšre mise Ă  jour 4/02/2012
Tauxdes droits sur les alcools et les boissons alcooliques applicables au 1 er janvier 2022. Les taux des droits des alcools et boissons alcooliques indiqués dans les tableaux ci-dessous sont augmentés de 0,2% (inflation en 2020) pour l'année 2022.. Le code des impositions sur les biens et services (CIBS) porte les taux applicables pour les boissons
Par Rachel Ruimy & Anna TchavtchavadzĂ© Le Code de la consommation a vocation Ă  protĂ©ger le consommateur c’est-Ă -dire toute personne physique qui agit Ă  des fins qui n’entrent pas dans le cadre de son activitĂ© commerciale, industrielle, artisanale, libĂ©rale ou agricole »[1], dans le cadre de ses relations avec un professionnel, c’est-Ă -dire avec toute personne physique ou morale, publique ou privĂ©e, qui agit Ă  des fins entrant dans le cadre de son activitĂ© commerciale, industrielle, artisanale, libĂ©rale ou agricole, y compris lorsqu’elle agit au nom ou pour le compte d’un autre professionnel[2] ». Aux cĂŽtĂ©s de ces notions classiques, la rĂ©forme de mars 2016[3] a dĂ©fini le terme de non-professionnel » comme Ă©tant toute personne morale qui n’agit pas Ă  des fins professionnelles[4] ». Ainsi, le non-professionnel pourra se prĂ©valoir de certaines dispositions protectrices du Code de la consommation, tels que les articles relatifs Ă  l’interdiction des clauses abusives. C’est dans ce contexte que la Cour de cassation a rendu son arrĂȘt du 17 octobre 2019[5] au sujet de la qualification de non-professionnel d’une personne morale. 1. Le contexte Une sociĂ©tĂ© ayant pour activitĂ© la location de biens immobiliers a conclu un contrat avec un prestataire professionnel dans le cadre de la construction d’un hangar. Suite Ă  certains dĂ©gĂąts et afin d’éviter d’engager sa responsabilitĂ©, le prestataire a voulu se prĂ©valoir d’une clause limitative de responsabilitĂ© figurant dans ses conditions gĂ©nĂ©rales. Dans ce contexte, la sociĂ©tĂ© a estimĂ© qu’elle pouvait ĂȘtre qualifiĂ©e de non-professionnel et a opposĂ© Ă  son prestataire l’ancien article du Code de la consommation[6] qui disposait que dans les contrats conclus entre professionnels et non-professionnels ou consommateurs, sont abusives les clauses qui ont pour objet ou pour effet de crĂ©er, au dĂ©triment du non-professionnel ou du consommateur, un dĂ©sĂ©quilibre significatif entre les droits et obligations des parties au contrat ». Dans un arrĂȘt du 15 mars 2018[7], la Cour d’appel d’Aix-en-Provence a rejetĂ© la qualitĂ© de non-professionnel car la sociĂ©tĂ© avait une activitĂ© de location de biens immobiliers, mais son gĂ©rant Ă©tait Ă©galement celui d’une autre sociĂ©tĂ© ayant pour objet la rĂ©alisation de travaux de maçonnerie gĂ©nĂ©rale et de gros Ɠuvre. Ainsi, la Cour d’appel a considĂ©rĂ© que l’activitĂ© du gĂ©rant entrait en considĂ©ration dans l’apprĂ©ciation de la qualitĂ© de non-professionnel de la sociĂ©tĂ©. C’est sur ce fondement que les dispositions du Code de la consommation relatives aux clauses abusives ont Ă©tĂ© Ă©cartĂ©es en l’espĂšce. C’est dans ce contexte que la Cour de cassation casse et annule l’arrĂȘt rendu par la Cour d’appel. 2. La qualitĂ© de non-professionnel Dans cette affaire, la Cour de cassation a considĂ©rĂ© que la qualitĂ© de non-professionnel d’une personne morale s’apprĂ©ciait au regard de son activitĂ© et non de celle de son reprĂ©sentant lĂ©gal. Ainsi, conformĂ©ment Ă  l’article liminaire du Code de la consommation, il a Ă©tĂ© rĂ©affirmĂ© qu’une personne morale est un non-professionnel lorsqu’elle conclut un contrat n’ayant pas de rapport direct avec son activitĂ© professionnelle. C’est la raison pour laquelle la cliente a pu se prĂ©valoir des dispositions relatives aux clauses abusives, en ce qu’il existait un dĂ©sĂ©quilibre significatif entre les droits et les obligations des parties au contrat. *** En tout Ă©tat de cause, en sus des clauses identifiĂ©es comme Ă©tant abusives par les dispositions des articles R. 212-1 et du Code de la consommation, il convient de porter une attention particuliĂšre Ă  l’article 1171 du Code civil[8] pour tout contrat d’adhĂ©sion et Ă  l’article du Code de commerce[9] dans le cadre des relations entre professionnels. Le Cabinet HAAS Avocats, fort de son expertise depuis plus de 20 ans en matiĂšre de nouvelles technologies, accompagne ses clients sur la rĂ©glementation relative aux relations entre professionnels et non-professionnels. Ainsi, si vous souhaitez avoir plus d’informations ou ĂȘtre accompagnĂ©s dans vos dĂ©marches. Contactez-nous ici [1] Article liminaire du Code de la consommation [2] Article liminaire du Code de la consommation [3] Ordonnance n°2016-301 du 14 mars 2016 relative Ă  la partie lĂ©gislative du Code de la consommation [4] Article liminaire du Code de la consommation [5] Cass. Civ. 3Ăšme, 17 oct. 2019 – [6] DĂ©sormais l’article du Code de la consommation prĂ©cise que Dans les contrats conclus entre professionnels et consommateurs, sont abusives les clauses qui ont pour objet ou pour effet de crĂ©er, au dĂ©triment du consommateur, un dĂ©sĂ©quilibre significatif entre les droits et obligations des parties au contrat. Sans prĂ©judice des rĂšgles d'interprĂ©tation prĂ©vues aux articles 1156 Ă  1161,1163 et 1164 du code civil, le caractĂšre abusif d'une clause s'apprĂ©cie en se rĂ©fĂ©rant, au moment de la conclusion du contrat, Ă  toutes les circonstances qui entourent sa conclusion, de mĂȘme qu'Ă  toutes les autres clauses du contrat. Il s'apprĂ©cie Ă©galement au regard de celles contenues dans un autre contrat lorsque les deux contrats sont juridiquement liĂ©s dans leur conclusion ou leur du caractĂšre abusif des clauses au sens du premier alinĂ©a ne porte ni sur la dĂ©finition de l'objet principal du contrat ni sur l'adĂ©quation du prix ou de la rĂ©munĂ©ration au bien vendu ou au service offert pour autant que les clauses soient rĂ©digĂ©es de façon claire et dĂ©cret en Conseil d'Etat, pris aprĂšs avis de la commission des clauses abusives, dĂ©termine des types de clauses qui, eu Ă©gard Ă  la gravitĂ© des atteintes qu'elles portent Ă  l'Ă©quilibre du contrat, doivent ĂȘtre regardĂ©es, de maniĂšre irrĂ©fragable, comme abusives au sens du premier dĂ©cret pris dans les mĂȘmes conditions, dĂ©termine une liste de clauses prĂ©sumĂ©es abusives ; en cas de litige concernant un contrat comportant une telle clause, le professionnel doit apporter la preuve du caractĂšre non abusif de la clause dispositions sont applicables quels que soient la forme ou le support du contrat. Il en est ainsi notamment des bons de commande, factures, bons de garantie, bordereaux ou bons de livraison, billets ou tickets, contenant des stipulations nĂ©gociĂ©es librement ou non ou des rĂ©fĂ©rences Ă  des conditions gĂ©nĂ©rales préétablies ». L’article prĂ©cise que les dispositions de l’article sont Ă©galement applicables aux contrats conclus entre des professionnels et des non-professionnels ». [7] CA Aix-en-Provence, 3Ăšme chambre B, 15 mars 2018, n°15/09377 [8] Article 1171 du Code civil Dans un contrat d'adhĂ©sion, toute clause non nĂ©gociable, dĂ©terminĂ©e Ă  l'avance par l'une des parties, qui crĂ©e un dĂ©sĂ©quilibre significatif entre les droits et obligations des parties au contrat est rĂ©putĂ©e non Ă©crite. L'apprĂ©ciation du dĂ©sĂ©quilibre significatif ne porte ni sur l'objet principal du contrat ni sur l'adĂ©quation du prix Ă  la prestation ». [9] Article du Code de commerce I. - Engage la responsabilitĂ© de son auteur et l'oblige Ă  rĂ©parer le prĂ©judice causĂ© le fait, dans le cadre de la nĂ©gociation commerciale, de la conclusion ou de l'exĂ©cution d'un contrat, par toute personne exerçant des activitĂ©s de production, de distribution ou de services [
] 2° De soumettre ou de tenter de soumettre l'autre partie Ă  des obligations crĂ©ant un dĂ©sĂ©quilibre significatif dans les droits et obligations des parties. [
] »
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